Séance de signature avec Éric Emmanuel Schmitt : J’y étais

Voilà j’en reviens, la séance de signature d’Éric Emmanuel Schmitt. J’avoue avoir été surprise par le nombre et la diversité des gens qui se sont rassemblé pour faire signer leurs livres préférés de l’un des auteur le plus lus de notre temps.

Les gens sont vraisemblablement, arrivé bien tôt, tout d’abord des femmes, dans les premières rangées presque pas d’hommes, des jeunes des moins jeunes, elles sont là, leurs livres à la main, engageant la conversation avec beaucoup de facilité et parlant de nul autre que lui : la star de la soirée et de ses multiples enfants qu’elles semblent chérir, lire et relire. Plus la ligne s’allongeait, plus les profils se diversifiaient :

Il y avait les incollables, ceux qui connaissaient tout, tous les livres, toutes les pièces et même les détails de sa vie, et qui n’aurait raté ça pour rien au monde. Mais il y avait aussi les autres, les moins fanas mais tout aussi fans : des très jeunes, jouant avec leurs appareils numériques (empruntées à papa??) et se prenant en photos en attendant de le photographier lui. Des hommes, des femmes, des vieux, des moins vieux, des bien sapés, des cools, des guindés… tous y étaient.

  • Le Defi de Jerusalem
  • La Traversée des temps – tome 3 – Soleil sombre

Des qui voulait se faire dédicacé le petit derniers, des plus gourmands portant 4 ou 5 volumes voulant faire plaisir à tous les absents, d’autres qui ont sous le bras le livre qu’ils ont le plus aimé, celui qui, depuis, porte les traces de leurs doigts, de leurs mains, de leurs yeux…

L’attente ne fut pas bien longue avant qu’il n’arrive, tout sourire, saluant les gens et se mettant au travail.

Il prenait son temps, parlait aux gens, écrivait élégamment, posait des questions, répondait aux questions et distribuait des sourires larges et accueillants.

Il me dédicaça deux volumes : “Odette Toulemonde” pour ma maman et “Oscar et la dame rose” pour moi, tout sourire il me demanda d’épeler le prénom de ma mère “K.H.A.D.I.J.A”, “c’est intéressant comme prénom” tout en posant des questions sur l’origine et la signification, il sortit une enveloppe blanche de la poche de sa veste, y nota Khadija et expliqua qu’il aimait noter les nouveaux prénoms qu’il rencontrait, “cela peut toujours amener de l’inspiration”. Verrons nous une de ses héroïne porter le prénom de ma mère, hummm j’attend de voir…

Lire: Pour Kenza, Oscar et la dame rose, l’histoire de cet enfant sauvé par l’humour et l’imagination.
Bien à vous, avec ma vive sympathie,
EES. Montréal 12 mars 2007

Lire: Pour Khadija, Odette Toulemonde, ces destins de femmes attendues par la grâce…
Avec toutes ma sympathie, bien à vous
EES. 12 mars 2007

  • La Rivale